Recherche ethnovisuelle initiée par Cécile Cuny avec le soutien de l'Agence Nationale de la Recherche
La logistique fait partie de notre quotidien. Elle est présente derrière chaque étagère de supermarché, elle est impliquée à chaque clic de souris validant le panier d’un site d’achat en ligne, elle se matérialise dans les millions de colis livrés chaque jour aux portes des particuliers et des entreprises. Elle représente 13 % des emplois ouvriers en France, 17 % en Allemagne.
Le travail photographique présenté repose sur une enquête qui a associé photographes et sociologues sur quatre sites français et allemands. Durant trois ans l’équipe a observé les zones d’activité logistique, puis rencontré les ouvrières et ouvriers des entrepôts sur leurs lieu de travail et dans leur vie quotidienne.
Notre démarche s’inspire des observatoires photographiques mis en place à la fin des années 1990 dans plusieurs communes françaises par le Ministère de l'Environnement. Des protocoles de prise de vue ont servi à construire un regard sensible sur ces zones. Hortense Soichet a traversé les zones à pied en réalisant systématiquement une prise de vue dans le sens des quatre points cardinaux, puis a installé sa caméra dans deux lieux de sociabilité.
La logistique fait partie de notre quotidien. Elle est présente derrière chaque étagère de supermarché, elle est impliquée à chaque clic de souris validant le panier d’un site d’achat en ligne, elle se matérialise dans les millions de colis livrés chaque jour aux portes des particuliers et des entreprises. Elle représente 13 % des emplois ouvriers en France, 17 % en Allemagne.
Le travail photographique présenté repose sur une enquête qui a associé photographes et sociologues sur quatre sites français et allemands. Durant trois ans l’équipe a observé les zones d’activité logistique, puis rencontré les ouvrières et ouvriers des entrepôts sur leurs lieu de travail et dans leur vie quotidienne.
Notre démarche s’inspire des observatoires photographiques mis en place à la fin des années 1990 dans plusieurs communes françaises par le Ministère de l'Environnement. Des protocoles de prise de vue ont servi à construire un regard sensible sur ces zones. Hortense Soichet a traversé les zones à pied en réalisant systématiquement une prise de vue dans le sens des quatre points cardinaux, puis a installé sa caméra dans deux lieux de sociabilité.